• +2
    Vote pour 17-01-2018

    Pour ma part, n'oubliant pas que notre monde est de plus en plus divisé et paraît, par ailleurs, être organisé et géré comme une entreprise très complexe, je me montre plus prudent quant à ce qui doit ou ne doit pas, peut ou ne peut être contesté voire, délibérément désobéi; amis, parents et connaissances ayant potentiellement d'autres points de vue, d'autres intérêts très personnels, pouvant se fâcher et rallier telle force ou unions plutôt que telle autre faisant ainsi vaciller même ce qui, sous l'angle du bon sens peut paraître légitime contre ce qu'on perçoit comme étant illégitime. Cela dit, je reste en accord avec tes observations.   

    Sinon, pour rester dans le giron de '' l'acquisition des savoirs '', je reconnais qu'en fait partie la capacité d'un citoyen à repérer le légitime comme l'illégitime et le cas échéant à les énoncer ou dénoncer. 


  • +2
    Vote pour 24-12-2017

    Ta référence à ''la distribution parcimonieuse des savoirs par les avides de pouvoir'' semble dire qu'ils (les avides de pouvoir) savent des choses que le grand public lui, ne connait pas et, qu'à défaut qu'ils (les avides de pouvoir) les (les savoirs) lui (le grand public) apprennent, des enseignants (''irrités de ne pas pouvoir enseigner comme ils pensent'') peuvent potentiellement les dispenser. 


    Or, dans le même temps - et en dehors des usages d'une politique citoyenne qui en effet est assez mal comprise et appliquée - les savoirs enseignés dans les écoles (maternelle, primaire, secondaire) ainsi qu'à l'université, ont l'air d'être complets et paraissent satisfaire administrations en tout genre, parents, élèves, étudiants, professeurs, historiens, scientifique etc...


    Donc, question :

    Quand tu parles d' ''acquisition des savoirs pour permettre à chacun de développer une pensée autonome et ouverte'', de quels savoirs parles-tu et quelle est cette autonomie qui devrait selon toi être ouverte ?