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CONSTITUTION

Nouvelle Constitution

Rédigé par cyrille, suivi par 0 abonné.

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  1. 1

    1. Article 1. financement des médias: la nouvelle cotisation information

      Il s'agit d'adapter à la presse le mode de financement de la médecine libérale. L'information, au même titre que la santé, ne devant de toute façon pas être considérée comme une marchandise comme les autres.

      La mauvaise qualité de nos médias est due en premier lieu à l'autocensure des journalistes, qui elle-même s'explique d'abord par leur précarisation, la quasi-totalité des médias étant déficitaires. Puisque le secteur privé a mené nos médias dans cette impasse, le défi qui se pose est celui d'injecter des fonds publics dans les médias sans pour autant les mettre sous influence, sous dépendance de l'organisme public chargé de calculer et d'injecter ces fonds. Autrement dit, il faut éviter les 2 écueils opposés de la dépendance financière (et donc de l'influence subie) au Capital ou à l’État/Collectivité.

      Or il existe déjà aujourd'hui un important secteur d'activité qui répond à cette description : c'est la médecine libérale. En effet c'est la collectivité qui finance (via une cotisation sociale) les consultations médicales de l'ensemble des citoyens, tout en laissant chaque citoyen absolument libre de consulter le médecin de son choix. On a bien à la fois le financement public (qui fait que personne n'hésite à aller consulter), et une absence d'influence des pouvoirs publics (les médecins dépendent financièrement de la décision de leurs patients d'aller les consulter, et non d'un quelconque organisme). L'idée est donc de transposer ce modèle au secteur des médias

      On dépense énormément (et c'est très bien) pour la santé des citoyens, ainsi que pour la retraite, le chômage, etc... et avec cette augmentation modique des cotisations (j'avais calculé moins de 1% du budget actuel de la sécurité sociale), on pourrait très bien s'assurer d'une meilleur santé de notre république, de nos institutions, en vivifiant la presse, 4e pouvoir censé contrôler tous les autres.

      Cette mesure aurait pour effet d'inciter beaucoup de gens à s'abonner pour la première fois à un journal, puisque ça leur serait remboursé (de la même manière qu'on n'hésite pas à aller au médecin). Elle permettrait aux journalistes d'oser dénoncer les travers de notre système, sans crainte de représailles sous forme de licenciement économique. Et elle donnerait aussi une "prime au mérite", les journaux les plus intéressants engrangeant plus de recettes d'abonnement, et pouvant ainsi "investir" davantage pour approfondir leurs enquêtes, engager de nouveaux journalistes. Enfin, elle serait compatible avec d'autres réformes, comme l'interdiction de la concentration des médias, l'interdiction de posséder des médias aux groupes répondants à des importants appels d'offres publics, la création d'un pôle de médias publics sous contrôle citoyen, etc...

      ji

      Chaque année la collectivité finance un droit pour chaque citoyen à s'abonner à un média de son choix (presse papier, internet,...), via une nouvelle cotisation sociale prélevée directement sur les salaires. Cette nouvelle cotisation se nomme "cotisation information".

      Il y a un plafond (par exemple à hauteur de l'abonnement à un hebdomadaire, quitte à ce que plusieurs citoyens puissent mettre en commun leur droit pour s'abonner à un quotidien, plus cher, qu'ils devraient ensuite se prêter). De cette manière j'avais calculé que cette nouvelle cotisation représenterait moins de 1% du budget actuel de la sécurité sociale.

      Le montant de cet abonnement est plafonné, à un montant restant à définir (par exemple à hauteur de l'abonnement à un hebdomadaire, ce qui

      Le montant de cet abonnement est plafonné, à un montant restant à définir (par exemple à hauteur de l'abonnement à un hebdomadaire, ce qui limiterait le coût de cette nouvelle cotisation à moins de 1% du budget actuel de la Sécurité sociale).

      , quitte à ce que plusieurs citoyens puissent mettre en commun leur droit pour s'abonner à un quotidien, plus cher, qu'ils devraient ensuite se prêter). De cette manière j'avais calculé que cette nouvelle cotisation représenterait moins de 1% du budget actuel de la sécurité sociale.

      Chaque année la collectivité finance un droit pour chaque citoyen à s'abonner à un média de son choix (presse papier, internet,...), via une nouvelle cotisation sociale prélevée directement sur les salaires. Cette nouvelle cotisation se nomme "cotisation information". Cela prend la forme d'un remboursement par l'organisme chargé de collecter cette nouvelle cotisation, sur présentation d'une attestation d'abonnement.

      Le montant de remboursement de l'abonnement est plafonné, à un montant restant à définir (par exemple à hauteur de l'abonnement à un hebdomadaire, ce qui limite le coût de cette nouvelle cotisation à moins de 1% du budget actuel de la Sécurité sociale).

      Pour s'abonner à un titre dont l’abonnement est plus cher que ce plafond (cas des quotidiens, plus chers que les hebdomadaires) plusieurs citoyens peuvent mettre en commun leur droit (et ensuite se prêter les numéros du quotidien).

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