Ta référence à ''la distribution parcimonieuse des savoirs par les avides de pouvoir'' semble dire qu'ils (les avides de pouvoir) savent des choses que le grand public lui, ne connait pas et, qu'à défaut qu'ils (les avides de pouvoir) les (les savoirs) lui (le grand public) apprennent, des enseignants (''irrités de ne pas pouvoir enseigner comme ils pensent'') peuvent potentiellement les dispenser.
Or, dans le même temps - et en dehors des usages d'une politique citoyenne qui en effet est assez mal comprise et appliquée - les savoirs enseignés dans les écoles (maternelle, primaire, secondaire) ainsi qu'à l'université, ont l'air d'être complets et paraissent satisfaire administrations en tout genre, parents, élèves, étudiants, professeurs, historiens, scientifique etc...
Donc, question :
Quand tu parles d' ''acquisition des savoirs pour permettre à chacun de développer une pensée autonome et ouverte'', de quels savoirs parles-tu et quelle est cette autonomie qui devrait selon toi être ouverte ?