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    Vote pour 29-12-2018

    Ce qui suit mériterait de sérieux et nombreux éclaircissements, il s'agit de pistes de réflexion pour permettre à chacun de réfléchir et d'étudier soigneusement les sujets AVANT de se lancer.

    Mais comme le temps presse, disons qu'il faut le faire en même temps.

                                                           ________


    Les "Droits de l'Homme" ne seraient-ils pas l'arbre utilisé pour nous cacher une forêt ?

    Cette notion, devenue impérative (et quasiment génétique aujourd'hui, pour beaucoup) est-elle pertinente ?


    L'idée nous est arrivée avec la Révolution, a-telle été bonne pour le peuple ?


    Pour ceux qui le savent pas, la période précédent la révolution n'était pas tout à fait ce qu'on nous apprend à l'école : on omet de nous dire que les principes libéraux (dont MACRON est le dernier avatar) ont été mis en œuvre par le Roi, conseillé par les Lumières... Il ne s'agit pas de complotisme, mais d'histoire.

    Rappel : l'histoire est écrite par les vainqueurs.


    Par ailleurs, n'est-il pas curieux que nous, qui avons adopté cette invention américaine de 1776, censé améliorer notre condition et qui a un but essentiellement individualiste, soyons arrivé aux gilets jaunes ?

    Rappel : le principe du libéralisme économique est "le renard libre dans le poulailler libre".


    En étudiant et en réfléchissant, on remarque :

    1) que l'individualisme poussé dans ces extrêmes est anti-humain (mauvais effet pour les droit de l'HOMME) : comment un individu arrivant au monde pourrait-il survivre sans parents ou soutien externe ? La première société naturelle est donc la famille ! L'individualisme s'oppose à la famille, on en voit le résultat actuellement ;


    2) que les américains d'origine (avant 1492) ont été décimés, chacun le sait, cela a été fait froidement, méthodiquement, c'est le plus grand "holocauste" ©®™) connu... dont personne ne parle jamais. Ceux qui l'ont perpétré, sont-ils crédibles à parler de Droits de l'homme ?


    3) encore en Amérique, que l'esclavage des noirs était compatible avec les "DDH" (le "en même temps" de MACRON) ;


    4) que les révolutionnaire français, après avoir proclamé les DDH, se sont empressés d'exterminer les Vendéens... parce qu'ils n'étaient pas d'accord avec eux : il faut donc comprendre que les DDH ne s'applique que si on est d'accord avec les dirigeants (pensez au référendum de 2005 pour vous convaincre que cela a changé de forme, mais pas de fond) ;  


    4) que la première assemblée constituante, en 1789, n'avait reçue aucune mandat pour cela : elle s'est auto-proclamée constituante, or elle était majoritairement composée de bourgeois, magistrats et commerçants ; les artisans, ouvriers, employés de Paris étaient exclus, ceux de la Province... n'en parlons pas.

    BILAN : deux-cent-vingt-neuf ans plus tard, urgente nécessité d'un RIC !


    Il y a beaucoup d'autres réflexions à faire du même tonneau, mais j'espère avoir attiré votre attention avec ce qui précède. En résumé :


    À quoi sert de définir des "Droits" quand il faut ensuite se battre pour les protéger : nous serions la "Patrie des Droits de l'Homme", et nous en sommes arrivé à la situation actuelle AVEC les droits de l'homme.

    EST-IL NÉCESSAIRE de poursuivre l'expérience ?


    La démonstration est faite, ici en particulier,  qu'on se perd dans une analyse et une recherche du moindre droit manquant : ne serait-il pas plus utile de chercher une synthèse qui englobe tous les aspects que chacun souhaite voir respecter ?


    Et cette synthèse, ne pourrait-elle se faire dans le BIEN COMMUN ?

    Une fois défini correctement, le Bien commun englobe tous ce que, ensemble, c'est à dire de façon commune, on souhaite obtenir quand c'est bon, et refuser quand c'est mauvais.

    Il conviendrait donc non de chercher quels (pseudo) protection il faut inventer, mais quel but il faut atteindre. Exemple parmi d'autres, en mettant dans le bien commun le principe de subsidiarité :

    -- la santé revient à la famille, excepté les risques épidémiques, pour lesquels on ne consulte pas seulement les "experts" mais les familles et jamais les laboratoires !

    -- on interdit à l'état de s'occuper des affaires de la famille : l'éducation revient automatiquement aux parents ; 

    -- l'instruction à l'école (et non l'éducation !) est gérée en local, il n'y a plus de mammouth ! l'enseignement de la théorie du genre disparaît parce que le gouvernement local se fait remettre la pendule à l'heure par ses concitoyens proches et les enseignants qui dévient sont rapidement dégagés... et on ne les recases pas dans d'autres Académies pour continuer leur saletés...


    Conclusion : cela permettrait de mettre dans la Constitution :

    "Tout acte doit avoir pour finalité le Bien commun.

    "Le Bien commun, qui peut évoluer, est défini au cas par cas, dans chaque domaine qui le nécessite par voie référendaire."


    Cela n'empêche pas de mettre dans certains cas où cela s'avère simple et non sujet à controverse la définition dès la proclamation : par exemple

    "Il est du Bien commun que la langue officielle soit le Français, toute utilisation d'une langue étrangère de façon officielle relève du crime d'état." (MACRON pourrait aller se rhabiller avec son globish !)

    Rappel: le mondialisme commence par la langue ! Y aura-t-il quelqu'un pour trouver à redire ?

                                                           ________


    Bon, pour aujourd'hui ça suffit, je suis fatigué (il n'y a pas que le  jeunes sur le coup...).

    Dans un atelier on travaille, j'espère que cela sera lu dans ce sens, je suis ouvert à la critique par définition pour peu qu'elle reste courtoise.




  • +2
    Vote pour 25-12-2018

    Ce qui suit mériterait de sérieux et nombreux éclaircissements, il s'agit de pistes de réflexion pour permettre à chacun de réfléchir et d'étudier soigneusement les sujets AVANT de se lancer.

    Mais comme le temps presse, disons qu'il faut le faire en même temps.

                                                           ________


    Les "Droits de l'Homme" ne seraient-ils pas l'arbre utilisé pour nous cacher une forêt ?

    Cette notion, devenue impérative (et quasiment génétique aujourd'hui, pour beaucoup) est-elle pertinente ?


    L'idée nous est arrivée avec la Révolution, a-telle été bonne pour le peuple ?


    Pour ceux qui le savent pas, la période précédent la révolution n'était pas tout à fait ce qu'on nous apprend à l'école : on omet de nous dire que les principes libéraux (dont MACRON est le dernier avatar) ont été mis en œuvre par le Roi, conseillé par les Lumières... Il ne s'agit pas de complotisme, mais d'histoire.

    Rappel : l'histoire est écrite par les vainqueurs.


    Par ailleurs, n'est-il pas curieux que nous, qui avons adopté cette invention américaine de 1776, censé améliorer notre condition et qui a un but essentiellement individualiste, soyons arrivé aux gilets jaunes ?

    Rappel : le principe du libéralisme économique est "le renard libre dans le poulailler libre".


    En étudiant et en réfléchissant, on remarque :

    1) que l'individualisme poussé dans ces extrêmes est anti-humain (mauvais effet pour les droit de l'HOMME) : comment un individu arrivant au monde pourrait-il survivre sans parents ou soutien externe ? La première société naturelle est donc la famille ! L'individualisme s'oppose à la famille, on en voit le résultat actuellement ;


    2) que les américains d'origine (avant 1492) ont été décimés, chacun le sait, cela a été fait froidement, méthodiquement, c'est le plus grand "holocauste" ©®™) connu... dont personne ne parle jamais. Ceux qui l'ont perpétré, sont-ils crédibles à parler de Droits de l'homme ?


    3) encore en Amérique, que l'esclavage des noirs était compatible avec les "DDH" (le "en même temps" de MACRON) ;


    4) que les révolutionnaire français, après avoir proclamé les DDH, se sont empressés d'exterminer les Vendéens... parce qu'ils n'étaient pas d'accord avec eux : il faut donc comprendre que les DDH ne s'applique que si on est d'accord avec les dirigeants (pensez au référendum de 2005 pour vous convaincre que cela a changé de forme, mais pas de fond) ;  


    4) que la première assemblée constituante, en 1789, n'avait reçue aucune mandat pour cela : elle s'est auto-proclamée constituante, or elle était majoritairement composée de bourgeois, magistrats et commerçants ; les artisans, ouvriers, employés de Paris étaient exclus, ceux de la Province... n'en parlons pas.

    BILAN : deux-cent-vingt-neuf ans plus tard, urgente nécessité d'un RIC !


    Il y a beaucoup d'autres réflexions à faire du même tonneau, mais j'espère avoir attiré votre attention avec ce qui précède. En résumé :


    À quoi sert de définir des "Droits" quand il faut ensuite se battre pour les protéger : nous serions la "Patrie des Droits de l'Homme", et nous en sommes arrivé à la situation actuelle AVEC les droits de l'homme.

    EST-IL NÉCESSAIRE de poursuivre l'expérience ?


    La démonstration est faite, ici en particulier,  qu'on se perd dans une analyse et une recherche du moindre droit manquant : ne serait-il pas plus utile de chercher une synthèse qui englobe tous les aspects que chacun souhaite voir respecter ?


    Et cette synthèse, ne pourrait-elle se faire dans le BIEN COMMUN ?

    Une fois défini correctement, le Bien commun englobe tous ce que, ensemble, c'est à dire de façon commune, on souhaite obtenir quand c'est bon, et refuser quand c'est mauvais.

    Il conviendrait donc non de chercher quels (pseudo) protection il faut inventer, mais quel but il faut atteindre. Exemple parmi d'autres, en mettant dans le bien commun le principe de subsidiarité :

    -- la santé revient à la famille, excepté les risques épidémiques, pour lesquels on ne consulte pas seulement les "experts" mais les familles et jamais les laboratoires !

    -- on interdit à l'état de s'occuper des affaires de la famille : l'éducation revient automatiquement aux parents ; 

    -- l'instruction à l'école (et non l'éducation !) est gérée en local, il n'y a plus de mammouth ! l'enseignement de la théorie du genre disparaît parce que le gouvernement local se fait remettre la pendule à l'heure par ses concitoyens proches et les enseignants qui dévient sont rapidement dégagés... et on ne les recases pas dans d'autres Académies pour continuer leur saletés...


    Conclusion : cela permettrait de mettre dans la Constitution :

    "Tout acte doit avoir pour finalité le Bien commun.

    "Le Bien commun, qui peut évoluer, est défini au cas par cas, dans chaque domaine qui le nécessite par voie référendaire."


    Cela n'empêche pas de mettre dans certains cas où cela s'avère simple et non sujet à controverse la définition dès la proclamation : par exemple

    "Il est du Bien commun que la langue officielle soit le Français, toute utilisation d'une langue étrangère de façon officielle relève du crime d'état." (MACRON pourrait aller se rhabiller avec son globish !)

    Rappel: le mondialisme commence par la langue ! Y aura-t-il quelqu'un pour trouver à redire ?

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    Bon, pour aujourd'hui ça suffit, je suis fatigué (il n'y a pas que le  jeunes sur le coup...).

    Dans un atelier on travaille, j'espère que cela sera lu dans ce sens, je suis ouvert à la critique par définition pour peu qu'elle reste courtoise.



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