60 activités pour Larry

La pénibilité de certains métiers pourrait être compensée par une réduction raisonnée du temps de travail, à salaire égal bien entendu. Par pénibilité, j'entends aussi bien le stress physique que le stress mental.

Je n'ai pas employé les mots habituels d'éducation ou d'instruction car ils recouvrent une utilité pour les dirigeants de la société.

Idéalement, l'acquisition des savoirs devrait permettre à chacun de développer une pensée autonome et ouverte. Or ce n'est pas le cas, et on ne peut pas accuser les médias contemporains d'avoir initié ce manque : de tout temps, les avides de pouvoir ont distribué parcimonieusement les savoirs, juste assez pour faire des producteurs qui soient aussi des consommateurs (mais pas trop car il faut manger pour vivre et non vivre pour manger).

Comment faire de la bonne acquisition de savoirs ? Pour faire de "l'éducation populaire" il faut que chacun ait acquis un socle de connaissances (assez éloigné de l'académisme mis en place par les cabinets ministériels), et ce dès la petite enfance.Je crois que ça va être dur, sauf si quelques enseignants, irrités de ne pouvoir enseigner comme ils pensent l'enseignement, viennent nous aider à y réfléchir. Nous pouvons commencer en les attendant.

Mon propos n'intéresse pas beaucoup, pourtant, d'après moi, l'acquisition de savoirs permet de "déflouter" les informations que l'on reçoit et d'exprimer des opinions autres que celles qui nous sont fournies par les dirigeants. Des citoyens à la pensée libre, ouverte et autonome transformeraient notre société en peu de temps.

Je n'ai pas employé les mots habituels d'éducation ou d'instruction car ils recouvrent une utilité pour les dirigeants de la société.

Idéalement, l'acquisition des savoirs devrait permettre à chacun de développer une pensée autonome et ouverte. Or ce n'est pas le cas, et on ne peut pas accuser les médias contemporains d'avoir initié ce manque : de tout temps, les avides de pouvoir ont distribué parcimonieusement les savoirs, juste assez pour faire des producteurs qui soient aussi des consommateurs (mais pas trop car il faut manger pour vivre et non vivre pour manger).

Comment faire de la bonne acquisition de savoirs ? Pour faire de "l'éducation populaire" il faut que chacun ait acquis un socle de connaissances (assez éloigné de l'académisme mis en place par les cabinets ministériels), et ce dès la petite enfance.Je crois que ça va être dur, sauf si quelques enseignants, irrités de ne pouvoir enseigner comme ils pensent l'enseignement, viennent nous aider à y réfléchir. Nous pouvons commencer en les attendant.

Mon propos n'intéresse pas beaucoup, pourtant, d'après moi, l'acquisition de savoirs permet de "déflouter" les informations que l'on reçoit et d'exprimer des opinions autres que celles qui nous sont fournies par les dirigeants. Des citoyens à la pensée libre, ouverte et autonome transformeraient notre société en peu de temps.

Ceux qu'on pourrait appeler les kleptocrates n'ont pas intérêt à ce que nous nous posions la question du "pourquoi" des choses.

Les enseignements dispensés dans les institutions ont trait au "comment", car le "comment" permet de résoudre les problèmes qui se posent pour assurer la perpétuation des dominants. Par le "comment", on peut réparer une voiture, établir un budget, partir à l'assaut d'une tranchée ennemie, ôter son chapeau devant un membre de la "classe supérieure", etc.

Une chaîne de "pourquoi" nous permettrait de mettre en doute le bien-fondé de nos comportements et de les valider ou de les invalider.

On n'aborde la philosophie que lorsque nos esprits sont suffisamment formatés pour ne pas mettre en danger la marche de la société. Alors qu'il faudrait l'aborder bien plus tôt, dès que l'enfant se pose les questions du "pourquoi" auxquelles nous ne répondons que par des "c'est comme ça !".

Quand je parle de philosophie, je ne pense pas à l'étude des philosophes, qui barberait vite un enfant, mais à l'inciter à se poser des questions sur le fonctionnement de la société dans laquelle il grandit et va vivre.

Dans l'élaboration d'une constitution, on ne peut pas ne pas aborder la question du "légal" qui peut s'opposer au" légitime" ? Un enfant dira "c'est pas juste ! " et nous répondrons "c'est la loi !".

On peut hésiter entre "comment"suivre la mode" et "pourquoi" suivre la mode".

J'ai rencontré un enseignant qui me disait avoir été mal noté à cause de son emploi d'un mot. Il disait: "2 plus 2 donnent 4", au lieu de "2plus 2 égalent 4". Son argument était que le mot "égal" donnaient l'idée de "identique" et qu'ensuite les élèves auraient beaucoup de mal avec l'égalité entre les ethnies ou les sexes.

Je ne sais pas si ce qui précède répond à ta question.

Je suis loin de penser que j'ai raison,

Je n'ai pas employé les mots habituels d'éducation ou d'instruction car ils recouvrent une utilité pour les dirigeants de la société.

Idéalement, l'acquisition des savoirs devrait permettre à chacun de développer une pensée autonome et ouverte. Or ce n'est pas le cas, et on ne peut pas accuser les médias contemporains d'avoir initié ce manque : de tout temps, les avides de pouvoir ont distribué parcimonieusement les savoirs, juste assez pour faire des producteurs qui soient aussi des consommateurs (mais pas trop car il faut manger pour vivre et non vivre pour manger).

Comment faire de la bonne acquisition de savoirs ? Pour faire de "l'éducation populaire" il faut que chacun ait acquis un socle de connaissances (assez éloigné de l'académisme mis en place par les cabinets ministériels), et ce dès la petite enfance.Je crois que ça va être dur, sauf si quelques enseignants, irrités de ne pouvoir enseigner comme ils pensent l'enseignement, viennent nous aider à y réfléchir. Nous pouvons commencer en les attendant.

Mon propos n'intéresse pas beaucoup, pourtant, d'après moi, l'acquisition de savoirs permet de "déflouter" les informations que l'on reçoit et d'exprimer des opinions autres que celles qui nous sont fournies par les dirigeants. Des citoyens à la pensée libre, ouverte et autonome transformeraient notre société en peu de temps.

Thibaut : Le chapitre concernant le système éducatif devait être un des plus important de cette constitution. Et l'éducation populaire (ou l'instruction publique) devrait en être un des pivots.

Je pensais en faire un article, mais je ne suis pas doué pour le mode twitter.

Je suis favorable au tirage au sort comme mode de désignation des représentants des citoyens : la loi des grands nombres permet une représentation égalitaire de la population.

Dans le cas du scrutin de liste, tel que la désignation d'un conseil municipal de village ou de petite ville, on pourrait ne pas s'en remettre au tirage au sort mais à ce que j'appelle l'ajout d'un " vote noir".

Dans l'enveloppe seraient glissés deux bulletins. L'un serait le bulletin normal portant le nom du candidat que nous préférons, il ajouterait une voix au compte de ce candidat. L'autre bulletin, bordé de noir comme un faire-part de décès, porterait le nom du candidat dont nous ne voulons absolument pas et lui enlèverait une voix.

J'y vois un avantage à la Oscar Wilde : dans le cas d'un refus massif, certains candidats seraient tellement blessés dans leur amour-propre qu'ils en viendraient à se suicider, participant ainsi à une démarche eugéniste d'éradication de certaines psychopathies (narcissisme, mégalomanie, etc.)

Qu'en pensez-vous ?

Si quelqu'un peut rédiger ça en 140 signes, je suis preneur.

Je pensais en faire un article, mais je ne suis pas doué pour le mode twitter.

Je suis favorable au tirage au sort comme mode de désignation des représentants des citoyens : la loi des grands nombres permet une représentation égalitaire de la population.

Dans le cas du scrutin de liste, tel que la désignation d'un conseil municipal de village ou de petite ville, on pourrait ne pas s'en remettre au tirage au sort mais à ce que j'appelle l'ajout d'un " vote noir".

Dans l'enveloppe seraient glissés deux bulletins. L'un serait le bulletin normal portant le nom du candidat que nous préférons, il ajouterait une voix au compte de ce candidat. L'autre bulletin, bordé de noir comme un faire-part de décès, porterait le nom du candidat dont nous ne voulons absolument pas et lui enlèverait une voix.

J'y vois un avantage à la Oscar Wilde : dans le cas d'un refus massif, certains candidats seraient tellement blessés dans leur amour-propre qu'ils en viendraient à se suicider, participant ainsi à une démarche eugéniste d'éradication de certaines psychopathies (narcissisme, mégalomanie, etc.)

Qu'en pensez-vous ?

Si quelqu'un peut rédiger ça en 140 signes, je suis preneur.

Je pensais en faire un article, mais je ne suis pas doué pour le mode twitter.

Je suis favorable au tirage au sort comme mode de désignation des représentants des citoyens : la loi des grands nombres permet une représentation égalitaire de la population.

Dans le cas du scrutin de liste, tel que la désignation d'un conseil municipal de village ou de petite ville, on pourrait ne pas s'en remettre au tirage au sort mais à ce que j'appelle l'ajout d'un " vote noir".

Dans l'enveloppe seraient glissés deux bulletins. L'un serait le bulletin normal portant le nom du candidat que nous préférons, il ajouterait une voix au compte de ce candidat. L'autre bulletin, bordé de noir comme un faire-part de décès, porterait le nom du candidat dont nous ne voulons absolument pas et lui enlèverait une voix.

J'y vois un avantage à la Oscar Wilde : dans le cas d'un refus massif, certains candidats seraient tellement blessés dans leur amour-propre qu'ils en viendraient à se suicider, participant ainsi à une démarche eugéniste d'éradication de certaines psychopathies (narcissisme, mégalomanie, etc.)

Qu'en pensez-vous ?

Si quelqu'un peut rédiger ça en 140 signes, je suis preneur.

Je partage, comme beaucoup d'autres, ton opinion sur la division et sur la gestion entrepreneuriale de la société humaine. Mais le fait de réfléchir à ce que pourrait être une nouvelle constitution indique que nous voulons changer le mode de fonctionnement de notre société.

Je lis la constitution sous laquelle nous vivons et je vois les difficultés que nous avons à affronter pour aller du point où nous sommes au point qui nous paraîtrait souhaitable.

Je crains les beaux parleurs convaincants, et qui règnent sur les débats, moi qui me force à parler en public.

Mais j'ai confiance en l'altruisme de la majorité des gens normaux, et comme disait Alphonse Allais : " Je suis désespérément optimiste ".

Ceux qu'on pourrait appeler les kleptocrates n'ont pas intérêt à ce que nous nous posions la question du "pourquoi" des choses.

Les enseignements dispensés dans les institutions ont trait au "comment", car le "comment" permet de résoudre les problèmes qui se posent pour assurer la perpétuation des dominants. Par le "comment", on peut réparer une voiture, établir un budget, partir à l'assaut d'une tranchée ennemie, ôter son chapeau devant un membre de la "classe supérieure", etc.

Une chaîne de "pourquoi" nous permettrait de mettre en doute le bien-fondé de nos comportements et de les valider ou de les invalider.

On n'aborde la philosophie que lorsque nos esprits sont suffisamment formatés pour ne pas mettre en danger la marche de la société. Alors qu'il faudrait l'aborder bien plus tôt, dès que l'enfant se pose les questions du "pourquoi" auxquelles nous ne répondons que par des "c'est comme ça !".

Quand je parle de philosophie, je ne pense pas à l'étude des philosophes, qui barberait vite un enfant, mais à l'inciter à se poser des questions sur le fonctionnement de la société dans laquelle il grandit et va vivre.

Dans l'élaboration d'une constitution, on ne peut pas ne pas aborder la question du "légal" qui peut s'opposer au" légitime" ? Un enfant dira "c'est pas juste ! " et nous répondrons "c'est la loi !".

On peut hésiter entre "comment"suivre la mode" et "pourquoi" suivre la mode".

J'ai rencontré un enseignant qui me disait avoir été mal noté à cause de son emploi d'un mot. Il disait: "2 plus 2 donnent 4", au lieu de "2plus 2 égalent 4". Son argument était que le mot "égal" donnaient l'idée de "identique" et qu'ensuite les élèves auraient beaucoup de mal avec l'égalité entre les ethnies ou les sexes.

Je ne sais pas si ce qui précède répond à ta question.

Je suis loin de penser que j'ai raison,

Je n'ai pas employé les mots habituels d'éducation ou d'instruction car ils recouvrent une utilité pour les dirigeants de la société.

Idéalement, l'acquisition des savoirs devrait permettre à chacun de développer une pensée autonome et ouverte. Or ce n'est pas le cas, et on ne peut pas accuser les médias contemporains d'avoir initié ce manque : de tout temps, les avides de pouvoir ont distribué parcimonieusement les savoirs, juste assez pour faire des producteurs qui soient aussi des consommateurs (mais pas trop car il faut manger pour vivre et non vivre pour manger).

Comment faire de la bonne acquisition de savoirs ? Pour faire de "l'éducation populaire" il faut que chacun ait acquis un socle de connaissances (assez éloigné de l'académisme mis en place par les cabinets ministériels), et ce dès la petite enfance.Je crois que ça va être dur, sauf si quelques enseignants, irrités de ne pouvoir enseigner comme ils pensent l'enseignement, viennent nous aider à y réfléchir. Nous pouvons commencer en les attendant.

Mon propos n'intéresse pas beaucoup, pourtant, d'après moi, l'acquisition de savoirs permet de "déflouter" les informations que l'on reçoit et d'exprimer des opinions autres que celles qui nous sont fournies par les dirigeants. Des citoyens à la pensée libre, ouverte et autonome transformeraient notre société en peu de temps.

Thibaut : Le chapitre concernant le système éducatif devait être un des plus important de cette constitution. Et l'éducation populaire (ou l'instruction publique) devrait en être un des pivots.

damesolange : j'ai voulu faire court, car je pense qu'une constitution devrait ne comporter que quelques dizaines d'articles, les plus concis possibles. Il faudra des grammairiens et des linguistes pour une rédaction qui ne prête pas à interprétation. D'ailleurs, je trouve les termes "homme", "femme" un peu restrictifs et propose le mot "citoyen(ne)"

damesolange : j'ai voulu faire court, car je pense qu'une constitution devrait ne comporter que quelques dizaines d'articles, les plus concis possibles. Il faudra des grammairiens et des linguistes pour une rédaction qui ne prête pas à interprétation. D'ailleurs, je trouve les termes "homme", "femme" un peu restrictifs et propose le mot "citoyen(ne)"